Mes enchères pour une luxueuse armoire se déroulaient à
merveille jusqu’à ce qu’une femme d’une grande beauté entre et n’offre que
trois mille yens. Selon elle, c’était un
bon prix puisqu’un homme, ayant été son amant, y avait été tué. Elle m’avoue que l’armoire est son dernier
espoir de retrouver ce dernier. Comme je
refuse, elle me contourne et, sans crier gare, s’embarre dans l’armoire. C’est alors qu’on m’avise qu’elle possède de
l’acide et qu’elle a l’intention de se le lancer en plein visage. Je panique et la supplie de sortir, ce qu’elle
fait. Elle n’est pas dévisagée, car elle
sait maintenant qu’elle ne pourra jamais ramener son amant.